Vous recherchez une liberté fiscale totale et un avant-goût de la vie insulaire pour l’accompagner? Ces nations insulaires offrent non seulement des paysages magnifiques; ils sont parfaitement heureux de vous permettre de gagner tout l’argent que vous voulez sans plonger leur main dans le pot.
La politique fiscale est aussi décontractée que le style de vie. L’ile Saint Barthelemy paradis fiscal, un des lieux les plus agréables à vivre, une des territoires et des pays souverains. Pour les expatriés qui cherchent à réduire leur charge fiscale tout en sirotant des margaritas dans un hamac en bord de mer.
Ile Saint Barthelemy paradis fiscal à explorer
Comme Saint Martin, depuis le 24 janvier 2007 Saint Barth ne fait plus partie de la Guadeloupe et constitue une collectivité d’outre-mer. La loi de défiscalisation GIRARDIN est également applicable puisque l’île française est entièrement soumise à la législation française.
Il faudra connaître ultérieurement les dispositions de la convention que l’Etat devra passer avec la nouvelle communauté sous l’égide du Conseil Territorial élu pour 5 ans dans cette île de 7.000 habitants.
L’ile Saint Barthelemy paradis fiscal est donc pleinement soumise à la législation française mais pourra bénéficier d’une autonomie qu’il sera intéressant d’examiner dans quelques mois. Il est vrai que la situation de Saint Barthélemy est un peu particulière car ses habitants se considèrent souvent exonérés de toutes taxes nationales.
Dans un jugement du 22 mars 1985, le Conseil d’Etat dut rappeler que l’impôt sur le revenu était applicable à Saint Barthélemy, alors que le traité international de rétrocession de l’île à la France par la Suède était assez vague sur la question … pas impossible que, sous réserve de cinq ans de résidence sur l’île, le statut fiscal du contribuable soit le plus avantageux, mais tout dépend de la manière dont la future convention fiscale entre l’Etat et la communauté sera négociée …
Concernant les valeurs de marché des biens immobiliers, il n’est pas rare de voir des plus-values de 10% à 20% par an pour des produits très luxueux. Les agents immobiliers locaux estiment que le retour sur investissement sur cette ile Saint Barthelemy paradis fiscal peut être de l’ordre de 10% par an après l’application de la loi d’exonération fiscale GIRARDIN pour les ressortissants français.
Ile Saint Barthelemy paradis fiscal : focus sur la fiscalité de rêve
Mieux connue sous le nom de Saint-Barthélemy, cette petite île volcanique est un collectif français d’outre-mer avec une histoire fiscale riche. Avant qu’il ne devienne une retraite luxueuse pour les touristes, l’endroit était pauvre en saleté et une réflexion après coup pour les Français qui ne pouvaient pas se donner la peine de secouer qui que ce soit.
Cependant, une fois que l’argent a commencé à affluer, les Français ont voulu leur couper. Un changement de statut de l’île lui a donné plus de pouvoirs et de responsabilités pour sa propre gouvernance, ce qui lui a permis de se défendre contre la pression fiscale du continent.
Aujourd’hui, il n’y a pas d’impôt sur le revenu des particuliers ou des sociétés ni de TVA. Les Français qui s’y installent après 2007 doivent cependant payer l’impôt sur le revenu du continent pendant cinq ans. C’est s’installer en plein milieu des Antilles et de tout ce que la région a à offrir, avec des prix allant de raisonnables à assez chers, selon votre diligence.
Ile Saint Barthelemy paradis fiscal : à quoi ressemblent les taxes foncières?
Le code fiscal local de St Barth est le code qui s’applique à toute propriété située sur l’île. Il n’y a pas de taxes foncières annuelles. Lors de l’achat, la taxe de transfert unique est actuellement de 5% du prix de vente, auquel l’acheteur doit ajouter des taxes mineures et des frais de notaire connexes, soit un total d’environ 6%.
En cas de gain en capital lors d’une revente, un impôt sur les plus-values doit être réglé avec le gouvernement local. Si ce taux d’imposition est actuellement de 20%, il est important de souligner qu’une décote substantielle peut être obtenue, augmentant avec le temps, en fonction du nombre d’années de détention. Par exemple, il n’y a pas d’impôt local sur les plus-values après 15 ans de propriété pour une résidence secondaire et après 10 ans dans le cas d’une résidence principale.
En fonction de la résidence du vendeur, les charges sociales peuvent être appliquées sur les plus-values.